Françoise PARACCHINI et Kabboura OUHAJJI, aides-soignantes à MBV La Jolivade (34)

– Je m’appelle Françoise PARACCHINI, je suis aide-soignante à la Jolivade depuis 2010.

– Je m’appelle Kabboura OUHAJJI, je suis aide-soignante à la Jolivade depuis 2012. 

– Françoise PARACCHINI: J’ai connu quelqu’un qui travaillait ici quand j’étais en formation d’aide-soignante (suite à une reconversion professionnelle), cette amie m’a proposé de venir travailler ici une fois qu’elle aurait obtenu son diplôme. Malgré de nombreux stages dans des milieux différents de celui de la gériatrie, j’ai voulu rejoindre l’établissement de la Jolivade car j’en avais entendu beaucoup de bien de la part de mon amie. Lorsque je suis arrivée, le fonctionnement et les valeurs du groupe notamment Vitae Clementia m’ont beaucoup plu.

Kabboura OUHAJJI : J’ai aussi intégré une école d’aide-soignante dans le cadre d’une reconversion professionnelle. Lorsque j’ai obtenu mon diplôme, j’ai cherché du travail dans différents établissements. Une opportunité de remplacements à la Jolivade s’est présentée à moi et j’ai accepté. Quelques temps plus tard, je signais mon CDI car je souhaitais continuer à travailler dans ce cadre agréable avec des valeurs que je partage (Vitae Clementia).

Malgré des périodes post-covid difficiles, nous apprécions le concept Vitae Clementia et nous aimons prendre soin des résidents dans le respect de ces derniers et de leur rythme.

– Le matériel qui est rapidement alloué lorsqu’on en a besoin, notamment le matériel de transfert ;

– Le fait que nous n’ayons pas de restrictions sur nos outils de travail (gants de toilettes, protections, lingettes, etc..) comme cela peut être le cas dans certains EHPAD dans lesquels nous avons pu faire des stages et des missions ;

– Le fait que le résident soit bien pris en soins ;

– Le cadre de vie également, les locaux qui sont agréables. Françoise, « Je n’y aurais pas mis mon papa sinon » ;

– La proximité géographique avec nos domiciles respectifs ;

– Le fait que nos remarques soient prises en compte et qu’il y ait des actions derrière ;

– Malgré les difficultés de manque de personnel, la qualité de vie au travail qui est présente sur l’établissement et qui se développe d’année en année.